Les plongeurs secouristes avaient pourtant cru l‘entendre, sept jours après sa disparition dans les gorges de l'Ardèche. Samedi, le pré-rapport d'expertise de l'ordinateur de plongée d'Eric Establie a permis de reconstituer le fil des évènements, selon le procureur de Privas, Christophe Raffin, en charge de l'enquête. Le spéléologue retrouvé noyé lundi dans les Gorges de l'Ardèche après huit jours de recherches acharnées, est mort "05H20 après le début de sa plongée" alors qu'il essayait de contourner un éboulis qui l'avait coincé, a annoncé samedi le parquet.
lundi 18 octobre 2010
Le spéléologue est mort noyé le jour de sa plongée
Les plongeurs secouristes avaient pourtant cru l‘entendre, sept jours après sa disparition dans les gorges de l'Ardèche. Samedi, le pré-rapport d'expertise de l'ordinateur de plongée d'Eric Establie a permis de reconstituer le fil des évènements, selon le procureur de Privas, Christophe Raffin, en charge de l'enquête. Le spéléologue retrouvé noyé lundi dans les Gorges de l'Ardèche après huit jours de recherches acharnées, est mort "05H20 après le début de sa plongée" alors qu'il essayait de contourner un éboulis qui l'avait coincé, a annoncé samedi le parquet.
mercredi 6 octobre 2010
Spéléologue disparu en Ardèche
De nouvelles recherches pour retrouver un spéléologue de 45 ans, porté disparu depuis dimanche soir dans un réseau souterrain des gorges de l'Ardèche, sont restées lundi vaines et reprendront mardi après-midi, a indiqué la préfecture.
"Les plongeurs n'ont pas établi de contact, ils n'ont rien vu (...) Ils ont eu une mauvaise visibilité, ils n'ont pas poussé plus loin", a déclaré à l'AFP le sous-préfet de Largentière (Ardèche), Jean Rampon.
Partis vers 19H00, les deux secouristes du Spéléo Secours Français sont ressortis de l'eau peu avant 22H30 après avoir poussé jusqu'à 480 m de l'entrée de la grotte plongeant dans le lit de la source de la Dragonnière, à Labastide-de-Virac (Ardèche), où le spéléologue a disparu.
"On n'a pas exploré la zone des 500 m suivants notamment jusqu'au point des 1.040 m où on pense qu'après, il peut y avoir un refuge" où le spéléologue peut respirer, a ajouté M. Rampon en annonçant la reprise des recherches mardi après-midi avec le concours de neuf secouristes anglais, italiens et suisses.
Une première reconnaissance dans la nuit de dimanche à lundi avait été effectuée "jusqu'à 200 mètres de l'entrée de la grotte", selon M. Rampon.
Bien qu'aguerri à l'exercice, le spéléologue porté disparu n'a normalement qu'une autonomie "de 24 heures pour respirer et pour voir".
Il avait commencé sa plongée dimanche à 09H30, et aurait dû remonter "six heures plus tard maximum
source Le Parisien
"Les plongeurs n'ont pas établi de contact, ils n'ont rien vu (...) Ils ont eu une mauvaise visibilité, ils n'ont pas poussé plus loin", a déclaré à l'AFP le sous-préfet de Largentière (Ardèche), Jean Rampon.
Partis vers 19H00, les deux secouristes du Spéléo Secours Français sont ressortis de l'eau peu avant 22H30 après avoir poussé jusqu'à 480 m de l'entrée de la grotte plongeant dans le lit de la source de la Dragonnière, à Labastide-de-Virac (Ardèche), où le spéléologue a disparu.
"On n'a pas exploré la zone des 500 m suivants notamment jusqu'au point des 1.040 m où on pense qu'après, il peut y avoir un refuge" où le spéléologue peut respirer, a ajouté M. Rampon en annonçant la reprise des recherches mardi après-midi avec le concours de neuf secouristes anglais, italiens et suisses.
Une première reconnaissance dans la nuit de dimanche à lundi avait été effectuée "jusqu'à 200 mètres de l'entrée de la grotte", selon M. Rampon.
Bien qu'aguerri à l'exercice, le spéléologue porté disparu n'a normalement qu'une autonomie "de 24 heures pour respirer et pour voir".
Il avait commencé sa plongée dimanche à 09H30, et aurait dû remonter "six heures plus tard maximum
source Le Parisien
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